Regards sur le Monde

 
 
CANADA

MONTREAL / SAINT-JEROME
(du 20 decembre 2015 au 2 janvier 2015)


 

Lundi 28 décembre 2014

Ce matin, nous partons pour le restaurant « le petit Poucet » situé au «Val David» Nous sommes accompagnés par Yvon et Jocelyne.

 


 

    Nous connaissons déjà le restaurant, nous nous y sommes rendus lors de notre dernier voyage, en juillet 2012. c’était sans doute un des meilleurs endroits ou nous avions petits déjeuné au Québec.

    Il ne neige pas aujourd'hui, et nous mettons une heure pour arriver à destination. Mais il fait tout de même froid, et le sol est gelé. Nous devons faire attention à ne pas glisser.

    Au restaurant, il y a un peu d'attente. Une serveuse nous appellera dés qu'une table de 8 se libère. Il est impossible de réserver dans ce restaurant. C'est la raison pour laquelle il est préférable d'arriver tôt. D'autant plus, qu’après le repas, nous nous comptons nous rendre au mont tremblant, qui est la station de ski la plus connue du Québec. Nous l'avions déjà visité une première fois en été, il me tarde de la voir sous la neige, en hiver.

 


 

    Après quelques minutes d'attente, nous accédons à notre table.

    Je suis content aujourd’hui, car pour la première fois depuis plusieurs semaines, j'arrive à plier mon genou à 70°, j'ai beau avoir encore mal, c'est une victoire.

    Le repas est comme dans mes souvenirs, excellent. Et l'ambiance avec nos amis, plus encore.

 



    Nous retraversons le parking pour rejoindre nos voitures. Comme le parking est gelé, je demande à Laugan de faire attention de ne pas glisser. À peine, j'ai fini ma phrase, que ma canne glisse sur la glace, et je tombe violemment sur les genoux. J’entends un énorme craquement, et je m’étale par terre comme un étron. Mes amis interviennent, Laugan et Mélodie tremblent d’inquiétudes.

    Je reste un moment au sol, et j’essaie de bouger les jambes, ça fonctionne, bien évidemment, la jambe déjà douloureuse me fait mal, mais pas foncièrement d'avantage qu'avant la chute.
Régis et Yvon me remettent sur les pieds. J'arrive a tenir debout et à marcher. Je suis rassuré, malgré la chute, tout va bien.

    Je monte avec un peu de mal dans la voiture, Yvon et Jocelyne nous quittent, nous les retrouverons demain. Régis me demande si je me sens pour aller au mont Tremblant. Je réponds oui, car mon genou ne me fait pas plus mal que la veille. Et nous partons pour une heure de route.
En fait, je ne le sais pas encore, mais je viens de me fracturer la rotule en plusieurs morceaux, je ne le saurais que 8 jours plus tard de retour en France.

    Quand nous arrivons au pied du mont tremblant, il commence à faire nuit. Le village est très coloré. Il est exactement comme dans nos souvenirs (qui ne sont pas très anciens). Des braseros sont allumés dans les rues et les places, et ce n'est pas du luxe, car la température doit avoisiner les – 20°.

 






 

    Régis en pensant à mon genou douloureux, nous propose de prendre le téléphérique pour atteindre la ville haute et le bas des pistes de ski. Le téléphérique est ouvert, et j'imagine que vu le froid qui règne au niveau du sol, ça doit être bien pire en prenant de la hauteur. Je lui réponds que personnellement, je préfère monter à pied les 2 ou 3 kilomètres qui nous séparent de la haute ville. Et nous grimpons.
 






 

    La montée au milieu des magasins, des restaurants est très agréable. Nous croisons un magasin spécialisé en accessoire de Noël, que nous prenons d’assaut. Beaucoup d'objets de toutes sortes, des décorations diverses et variés, etc... Beaucoup d'objets de toutes sortes, des décorations diverses et variés, etc... Nous n’achetons rien, mais la visite est très sympas.
 




 

   Quant nous arrivons au pied des pistes, il fait nuit noire, au loin des canons à neiges sont entrés en action, des véhicules tassent la neige. La piste est fermée, et tout est mis en place pour qu'elle soit à nouveau prête pour demain.
 




 

    Nous continuons notre balade dans le magnifique village ultra moderne. Puis nous allons boire un chocolat chaud.



 

    Nous redescendons tranquillement à pied.

    Nous finissons par prendre l'immanquable tire sur la neige que nous avions déjà goûté en 2012. Il s'agit de sirop d’érable chaud déposé sur de la neige. On attend quelques secondes que le sirop refroidisse, et on roule la pâte sur un bâtonnet de glace. On obtient ainsi une délicieuse sucette au sirop d’érable. MIAM

 




 

    Nous reprenons la voiture pour deux heures de route afin de rejoindre st Jérôme. Demain, nous avons beaucoup de route à faire.