Regards sur le Monde

 
 
URUGUAY ( DU 22 mars au 5 juin)
PUNTA DEL ESTE
DU 22 AU 28 mars 2012


 

JEUDI 22 MARS 2012
 

    Arrivé à Montevideo après, trois heures de bateaux exténuantes. Les deux heures de bus suivantes pour atteindre la ville de Punta Del Este, ne vont pas être meilleures. Bien sûr, la météo est plus clémente, mais mon estomac n'a pas eu le temps de se remettre a l'endroit, et je vais régulièrement me rendre aux toilettes du bus, et vomir dans un bus en marche est digne d'un Tex-avery.
 


 


 


 

.     Nous arrivons tout de même à destination, sain et sauf. Notre auberge, est chez l'habitant. Nous sommes accueillis par un grand-père, d'un mètre quatre-vingt-dix et 150kg, tout sourire, qui nous montre nos chambres. C'est vieillot, mais on se sent bien, comme à la maison.

     Nous décidons de repartir de suite pour manger (j'ai le ventre plus que vide.). Le vieil homme nous indique le centre-ville, et nous partons.

     Nous marchons une bonne demie heure, puis nous nous arrêtons manger dans un restaurant pas très bon, mais au moins, ça cale.

    Nous nous rendons ensuite à la place centrale, ou nous verrons une magnifique cathédrale, malheureusement fermée et un musée des arts à faire également, mais plus tard, car le temps est maussade, il commence à pleuvoir.

 


 


 


 


 

     Nous rentrons à l’hôtel, Mélodie va s’endormir presque instantanément. En attendant, je discute avec le patron et son fils, tous deux très sympas. Ils me racontent leur famille, leur vie, etc... Des personnes très ouvertes, et joviales.

     Mélodie se réveille vers 20h après 4 bonnes heures de repos. Nous fainéantons un moment, puis nous décidons d'aller manger, les enfants n'ont pas faim, moi oui. En chemin, je croise le fils du patron, Miguel à vélo. Il fera un détour, et m'accompagnera à pied jusqu'à un restaurant.

     Le repas est très bon. De retour à l’hôtel, je demande à Miguel une voiture pour le reste de notre séjour.

 

 

Puis repos, repos, repos.

 

 

VENDREDI 23 MARS 2012
 

     Réveil de bonne heure, nous prenons le temps de déjeuner, nos hôtes sont là également, Miguel essaie d'appeler pour la voiture, mais les bureaux sont fermés. Pas très important, nous ne sommes pas pressés.

    Pendant ce temps, je sors la carte de la région, et le grand-père, m'indique, les divers points à aller voir. Je prends note, et je travaille assidûment sur l'ordinateur (enfin, j’essaie, mais je m’endors très vite).

    Le bruit de la porte d'entrée me fait remonter à la surface, il s'agit du loueur de voiture. Nous faisons les papiers, et à nous la petite W. Le temps de rassembler la tribu, et nous partons.

Notre plan est simple, suivre la cote et s’arrêter quand on veut.

    Le premier arrêt se fera assez vite, en fait presque devant notre hébergement, histoire de voir à quoi ressemble la plage. Elle est très belle. Peu de monde, car c'est hors saison, mais il y a tout de même des promeneurs et des adeptes de la bronzette.

 


 


 


 

     Nous continuons notre route jusqu'au port, et plus exactement dans la direction d'un restaurant situé en face d'une île, que nous a indiqué le patron de l'auberge. Le restaurant que nous recherchons a été remplacé par un autre, mais l'important, et que l’île soit toujours là. Le repas sera très cher, car le restaurant est très chic, et la nourriture sera bonne sans plus.
 


 


 


 

     Nous poursuivrons notre aventure par le port. Ou nous découvrons l'attraction principale, donner la becquet aux lions de mer.
 


 


 

      Ils s'agit d'un échange ou tout le monde trouve son compte : d’énormes lions de mer sauvages, viennent au port, ou les attendent un homme avec des abats de poissons. L'homme, lui, attend le touriste. Quand il est là, le touriste nourri les lions à la main (l’expérience est énorme.), et nourri aussi l'homme, qui lui, fournit les carcasses de poissons. La nature est bien faite, et tout le monde est content. Notons l’intelligence des 4 ou 5 lions de mer qui ont compris leurs intérêts dans l'histoire, et qui reviennent tous les jours.
 


 


 

 

     N’empêche, que l’expérience est complètement incroyable, et que nous y prenons beaucoup de plaisir. Voir ces énormes gueules s'ouvrir et prendre délicatement les poissons que nous avons en main et tout simplement extraordinaire.
 


 


 

     Nous poursuivons notre route en longeant la côte, et nous n'attendons pas longtemps avant de nous arrêter à nouveau.

     À la pointe de la ville, il y a un croisement entre un bras de mer et l’océan (autant dire que les vagues tapent dur), nous voyons des statues de sirènes stylisées. Posées là, sur les rochers, au contact des vents et de l’océan. La vision est bizarre, je ne peux pas dire que je trouve les statues extraordinaires, mais le lieu ou elles se trouvent est fait pour elles.

 

 


 


 


 

      Nous resterons un grand moment sur place à admirer le paysage.

     Nous continuons et nous nous arrêtons à nouveau, peu de temps après. Un bras de terre s'avance dans la mer. En son centre, un autel dédié a la vierge. Des plaques de toutes sortent recouvrent les pierres alentours, remerciant la vierge pour une raison ou une autre.

 


 


 


 


 

     Une chose nous frappe, sur toutes les plages non-publiques, le sol est recouvert de millier de coquilles de moule vides. Nous l'avions déjà vue sur d'autres plages de Punta Del Este, mais ici, c'est particulièrement important. Nous nous enfonçons jusqu'à mi-cheville, sous les coquilles de moules. Il faudra que j'en demande les raisons.
 


 


 

     Laugan trouvera l'aiguille dans la meule foin, en l’occurrence, une vraie dent de requin, et un œuf de coquillage vide.

      Il y a également un excellent écosystème, car nous avons l'occasion de voir beaucoup d’espèces animales (notamment des oiseaux), jusqu’alors inconnus (et des surfeurs).

 


 


 


 

     Nous reprenons la route, et nous faisons un dernier arrêt à l’œuvre la plus réputée de Punta Del Este, c'est-à-dire une main géante jaillissant du sable.

 


 


 


 

     L'illusion est bien rendue, et nous avons beaucoup aimé le moment. Les enfants se détendront en jouant sur le sable.
 


 


 


 

     Nous rebroussons chemin et nous regagnons l’hôtel, ou les enfants font leur travail scolaire. Pendant 3 heures, puis nous sortons manger, sur la place centrale. Le repas est très bon, et l'ambiance amicale, ils retransmettent un mach de foot a la TV, ils sont fans, comme partout en Amérique du sud.


Après le repas, tout le monde au lit.


 

 

SAMEDI 24 MARS 2012
 

     Ce matin, les enfants commencent par le travail scolaire, les propriétaires de l’auberge mettrons à disposition un tableau veleda et des stylos. Les enfants vont travailler de bon cœur, ça fait vraiment plaisir.
 


 


 

     Vers midi, nous allons manger au port, au menu, gambas et tiramisu. Le repas sera très bon, et le cadre très sympa.
 


 


 


 

     Puis les enfants ont envie de retourner voir les lions de mer. Nous arrivons juste au moment où un lion, énorme, fait un bon d'une mètre cinquante, et atterri sur la berge, pour venir chercher le poisson qu'un homme lui tend. Tout simplement impressionnant.
 


 

     Nous retournons à l'auberge nous changer, puis nous nous rendons à la plage, il nous suffit de traverser la rue. Il n'y a pas grand monde, et nous nous installons tranquillement. Des chiens s'amusent sur le sable, ici comme au Chili et en Argentine, il y a des chiens errants, mais aucuns n'est agressifs.
 


 


 


 


 

     Très rapidement, les enfants se font des copains uruguayens. Tout d'abord Laugan, avec un petit garçon de 5 ans, très mignon, mais au prénom imprononçable, et Mélodie avec Tatiana, 12 ans, la sœur du petit garçon.

      Pendant ce temps, je vais parler avec leur mère, assise sur le sable juste derrière moi. Les Uruguayens sont vraiment d'un abord très facile, souriant et accueillants.

      Cette rencontre fera du bien aux enfants chez qui la barrière de la langue n'est vraiment pas un obstacle.

      Nous nous séparons à la mode sud-américaine, avec une accolade et une bise unique sur la joue. Agréable rencontre, et agréable moment.

      Je retourne a l’hôtel, puis, je pars faire des courses pour le soir même et pour le repas de midi du lendemain, car nous partons pour l’île Gorriti. Une petite île très proche de la cote ou il n'y a pas grand chose à faire sinon se promener, et se baigner. Les enfants le demandent, et un peu de calme sera le bienvenu pour tous, d'autant plus que le cadre doit être très sympas

     Au supermarché, j'entends dans la sono du magasin l'instrumental de la chanson de Michel Fugain, « fais comme l'oiseau ». Quelques jours avant, dans un carrefour de Buenos aires, nous avions entendu France Gall chanter «Ella elle a», c'est toujours aussi surprenant pour nous, car si vous demandez qui chante, personne ne peux vous répondre, les sud-américains connaissent Edith Piaf, Charles Aznavour, et Gilbert Becaud, point final.


     De retour à l'auberge, nous mangeons avec comme point de vue, un magnifique soleil couchant.

 


 


 

     Pendant que les enfants s'occupent, je reste un grand moment en compagnie de Miguel et de son père. Ils ont également beaucoup voyagé. Ils me parlent de leur vie de leurs passés, de leurs projets. Excellente soirée. J'ai vraiment l'impression d’être chez moi, en train de parler avec mon cousin, et son grand-père, pur moment de bonheur.


 

DIMANCHE 25 MARS 2012
 

     Nous déjeunons et nous nous préparons pour la sortie sur l’île de Gorriti. Le père de Miguel nous a déjà préparés un panier pour mettre les provisions, un parasol, et un ballon pour que les enfants ne s'ennuient pas, il nous a même acheté du pain. Merci grand père.

      Il nous indique l'endroit ou prendre le bateau. Nous arrivons au port, nous payons la somme du passage à l'agence, et nous grimpons sur le bateau, nous devons être une trentaine à bord.

 


 


 

     Nous partons, et peu à peu, la magnifique baie portuaire de Punta Del este s’éloigne.
 


 


 

      En 10 minutes, nous avons fait la traversée, le capitaine nous indique que le dernier bateau est à 17h15 (mais il en part un toutes les 30 minutes).

      Nous arrivons sur une jetée toute aménagée. Nous traversons une pinède, et au bout de deux minutes, nous arrivons à une splendide plage. Des tables et des chaises sont à disposition des pique-niqueur que nous sommes. Et nous commençons d’ailleurs par notre repas froid

 




 


 


 

     Laugan se fait rapidement des copains. Je reste à le surveiller pendant que Mélodie va se promener dans l’île.
 


 

     Elle trouvera une plage au sable gris noir, qui en fait, est constitué de coquilles de moules concassés et mis en miette par les vagues et le vent.
 


 


 

     L’île était anciennement fortifiée, quelques ruines en témoignent.
 


 

     Au bout d'une heure, et après avoir gambader sur la moitié de l’île, Mélodie revient. Nous échangerons nos places, elle préfère rester à la plage avec son frère, pendant que je visite l'autre moitié de l'île.

    Au bout de quelques mètres, je fais la rencontre d'une pie vert à tête rouge, difficile à photographier.

    L’île est très belle, il y a eu, je pense des tentatives d'aménagements avortées, il y a quelques ruines de constructions qui font penser à des équipements hôteliers.

 


 


 


 

    Au bout d'une heure, je suis de retour à la plage, ou les enfants continuent à se baigner un moment avant de reprendre le bateau.
 


 

.     De retour sur le continent, les enfants ne peuvent pas s’empêcher de retourner voir les lions de mer. Laugan a envie de retenter l'expérience de les nourrir. (et mélodie également)
 


 


 

     Puis nous rentrons à l'auberge après un denier verre pris au port.

    Nous y restons jusqu'au soir, Mélodie a attrapé mal, ça doit être un bon rhume, nous aviserons demain, pour l'instant nous puisons dans notre trousse à pharmacie avec les médicaments de base que nous a donné le médecin en France.

     Le soir Mélodie reste à l'auberge pendant que nous partons manger. Nous sommes surpris par une pluie torrentielle, en 10 minutes, il y a 20 centimètres d'eau dans les rues.

Nous rentrons nous coucher en pensant à Noé et à son arche.


 

 

LUNDI 26 MARS 2012
 

     Ce matin, la pluie et le vent ont cessé, mais il ne fait pas beau pour autant, le ciel est couvert, et la température a chuté.

Mélodie est toujours malade, et elle a du mal à se lever.

Aujourd'hui, est une journée, dédiée à la logistique :

- acheter les médicaments pour Mélodie
- renvoyer par la poste deux colis en France de vêtements chauds devenus inutiles, de livres, etc... (16kg).
- Faire les lessives
-acheter une nouvelle valise (celle des affaires scolaire des enfants est morte lors du dernier transport)
-acheter les billets de bus pour Montevideo pour le 28.

    Je fais tout ça dans la journée, et les enfants font le travail scolaire l’après-midi.

Nous faisons le repas du midi à l'auberge.

La pluie et le vent sont de retour.


 

 

MARDI 27 MARS 2012
 

      Aujourd'hui, le temps n'est pas au rendez-vous. Il y a une vraie tempête. Des bourrasques de vent incroyable, et par intermittence, de fortes pluies.

     Nous comptions faire la cote, mais ça ne va pas être possible. Nous nous rendons au centre d'information touristique pour qu'ils nous indiquent la direction du musée de la mer, dont nous a parlé le papy gérant de l'auberge.

     Nous avons à faire a une personnes parlant un Français parfait, ce qui nous facilite la compréhension du trajet.

     Nous prenons la route, la voiture, légère, a tendance à se déporter, mais pas d’inquiétude tout de même ;

     nous faisons quelques kilomètres, nous passons devant de superbes maisons, un quartier huppé du secteur.

 


 

     Nous arrivons à deux ponts jumeaux, tous deux a sens uniques. Ils sont en forme de vagues. Nous l’empruntons, l'effet est bizarre, arrivé à chaque crête des vagues, nous avons l'impression de tomber dans le vide. Plutôt original.
 


 

     À partir de là, le musée est bien indiqué, et nous y arrivons au bout de 5 minutes.

Un énorme requin marque l'entrée du musée. Le bâtiment semble plutôt petit.

 


 

     À l'accueil, la personne nous dit qu'il y a deux musées, celui de la mer, et un autre très sympas dédié au insecte de l'autre côté de la rue. Le tarif n’étant pas exorbitant, nous visiterons les deux.

Nous commençons par le musée de la mer.

     Vue de l’extérieur, il ne paye pas de mine, un petit bâtiment de bois, et une porte d'entrée plus que basique en bois également.

 


 

     Mais à peine la porte ouverte, nous rentrons dans la caverne d’Ali Baba. C'est magnifique. La décoration toute de bois, et splendide, nous voyons nos premiers animaux marins empaillés.
 


 


 

     Une personne a l'entrée déchire nos billets, nous pouvons tout photographier, on doit uniquement enlever le flash pour les animaux vivants.

     Le musée est très chaleureux, nous avons l'impression d’être dans un appartement spacieux, avec des ossements et des animaux empaillés dans le salon.

     Il y a entre autres, d’énormes squelettes de baleines, on se demande comment ils ont pu les monter dans les couloirs. C'est énorme.

 


 


 

     Des oiseaux, des animaux marins, de coquillages de toutes sortes et de toutes les couleurs, splendides.
 


 


 

     Une partie du musée est dédiée aux pirates célèbres, un pont et une cale de bateau a été reconstituée, tout y est, y compris le bois qui craque sous nos pas.
 


 


 


 

     Il y a également une partie dédiée a l'histoire de la ville depuis les années 20 jusqu’à nos jours. Cette section est très attractive, car elle est surtout constituée de photos et de divers objets. Nous verrons à cette occasion, un disque ancien de Charles Aznavour, chantant en espagnol, et un 45 tour de Johnny Hallyday qui a dû s’échouer sur la plage après le naufrage d'un navire (j'imagine, car en Amérique du Sud, personne ne le connaît).
 


 


 


 

     Le musée est plus grand que ce que nous imaginions, la visite a duré deux bonnes heures, et c'est achevée par une série de photos dans la gueule du requin du jardin.
 


 

     Nous poursuivons notre journée par la visite du second musée, celui des insectes.
 


 

     La pièce qui leur est dédiée est immense, et toute en longueur. La visite est facile, sur chaque mur sont exposés des insectes de toutes sortes, toutes couleurs et toutes origines. On peut tout voir d'un simple aller-retour de l'unique pièce.
 


 

     Cela a beau être sympas, j'avoue qu'on n'y trouve pas notre compte. De fait, nous sommes plutôt adeptes du coup d’œil rapide, j'ai presque honte.
 


 


 

     Nous reprenons la voiture et nous rebroussons chemin, nous repassons sur le pont en forme de vague, et pour s'amuser nous faisons demi-tour pour le prendre plusieurs fois.
 


 


 

     Nous allons jusqu'au port, le vent est encore très violent, et il pleut encore régulièrement. Nous nous arrêtons manger, puis nous retournons à pied voir les lions de mer une dernière fois. Mais avec ce temps, même eux ne sortent pas. L'eau est montée d'au moins 2 mètres depuis la veille, c'est très impressionnant.
 


 

     Nous faisons deux arrêts en bord de mer, avant de rejoindre l'auberge, la mer est démontée, les vagues s’éclatent contre les digues ou les rochers, et parviennent tout de même a inonder les routes, incroyable.
 


 


 

     De retour à l'auberge (qui commence à prendre l'eau malgré son étage), les enfants se mettent au travail scolaire, pendant que je vais faire des courses. Nous allons fêter Pâques quelques jours à l'avance. J'achète des œufs en chocolat pour les enfants et un pour chacun de nos hôtes.

    De retour à l'auberge, Laugan se fera une joie de chercher les œufs cachés, et de les manger bien sûr.

 


 


 

     Le soir, nous allons manger dans un restaurant basque, hé oui, en plein Uruguay.

    Puis nous rentrons nous coucher, demain, nous partons pour Montevideo.


 

 

MERCREDI 28 MARS 2012
 

     Ce matin, nous sommes tous un peu triste de quitter cet endroit, nous nous sentions un peu comme à la maison, et la gentillesse de Miguel et de son père, leur accueil et leur bienveillance, nous ont fait nous sentir un peu plus comme chez nous. Je dois faire deux aller-retour, nous avons trop de bagages pour notre petite voiture.

     Les adieux sont émouvants, nous sentons bien qu'eux aussi ont apprécié les moments passés ensemble. Je ne sais pas si nous nous reverrons un jour, mais nous ne les oublierons pas.

 


 


 

     Je n'ai pas l'habitude de faire de la pub, mais pour tous ceux qui privilégient le contact humain au grand luxe, et qui comptent se rendre Punta Del Este, voici le nom de l’hôtel : HOSTEL PLAYA MANSA.
 


 

     Nous prenons le bus sans aucun problème, et nous arrivons à Montevideo en deux heures de temps.

 

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